Deus herbarius

[Bernard]

Pregnant woman with terminal cancer survives, chooses life

                                         

 

Jessica Hanna, a mother of four, was diagnosed with terminal breast cancer when she was 14 weeks pregnant. Several doctors advised her to have an abortion but she declined, choosing life instead. 

 

Pregnant woman with terminal cancer survives, chooses life | Catholic News Agency

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Jessica Hanna, a mother of four, was diagnosed with terminal breast cancer when she was 14 weeks pregnant. Several doctors advised her to have an abortion but she declined...

 

[Bernard]

[Bernard]

• When snow fell in the Sahara in 2016 this was called a “once in a century” – but then snow fell more heavily, and over larger areas in 2018 and 2021.

• Climate alarmists predicted 31 years ago that most of the low-lying coasts and islands would be submerged before the year 2000.

• The thickness and surface area of Greenland's glaciers are increasing.

• Changes in climate depend not on men but on sunspots; satellite-measurement since 1978 has shown that total solar irradiation is not constant.

• The carbon dioxide content of the air (0.04%) has remained stable for 50 years.

• The current heatwave is less than the 1911 heatwave.

• "The Arctic is experiencing its coldest summer in 64 years” (Danish Meteorological Institute).

• Australian Institute of Marine Science: The Great Barrier Reef - which was predicted to disappear due to global warming – hit a 36-year-highs last year.

[Bernard]

« On ne voit ça qu’une fois par siècle » disaient-ils en 2016. Mais quand la neige est retombée plus drue, et sur de plus vastes territoires en 2018 et 2021, ils ont préféré parler d’autre chose. De Waterworld par exemple.

 

Puisque le covid fait moins peur, et que la trouille est l’outil idéal de manipulation des foules, retour aux prévisions d’Henri Sannier star du JT qui annonçait il y a 31 ans déjà, la submersion de la plupart des côtes et îles basses avant l’an 2000.

 

Aujourd’hui c’est BFM TV qui remet ça. Le Groenland fond et va tous vous noyer !

 

Alors que les glaciers du Groenland ont grossi en 2017, une info que les médias main stream ont préféré minimiser ou ignorer.

 

Réseau International, un des rares sites où des climatologues s’expriment librement, mesures et courbes à l’appui, évoque : « Le phénomène actuel d’augmentation de l’épaisseur et de la surface des glaciers du Groenland, curieusement ignoré par les fauteurs de bruit médiatique au service de la psychose caniculaire ».

 

Les variations climatiques dépendent à 99 % du soleil

 

Les éruptions solaires et les éjections de masse coronale (CME) émettent des rayonnements qui couvrent tout le spectre des ondes électromagnétiques (EM), des ondes radio aux rayons gamma.

 

Pendant le minimum de Maunder (1645-1715) observé et décrit par les astronomes, le Soleil était 0,25 % moins brillant que pendant le mini-minimum de 1996 qui a marqué une stase dans le « terrifiant » réchauffement cataclysmique.

 

Idem lors de celui de 2017-2018 annonçant un prochain refroidissement cyclique avec l’extension de la banquise arctique.

 

Il a suffi que l’irradiation solaire soit 0,24 % inférieure à celle d’aujourd’hui pour réduire la température globale de 0,2°C .

 

Dis Greta, c’est quoi les isotopes ?

 

Les taches solaires sont cycliques sur des échelles de temps variables de 11 ans à des millénaires. Lesquelles correspondent, comme par hasard, aux cycles et ères climatiques de notre planète.

 

Si on creuse un peu, on observe que lorsque une forte éruption solaire augmente la TSI (total irradiance) de 0,1 %, elle amplifie notablement les émissions de longueurs d’onde UV, radio et rayons X. Et cela a pour effet la production d’isotopes cosmogéniques 14C (carbone 14) et 10Be (béryllium 10) dans l’atmosphère terrestre.

 

Ces isotopes d’origine galactique et solaire se forment dans la haute atmosphère à partir des fluctuations du flux de rayons cosmiques causés par le vent solaire.

 

L’incidence des 14C est relativement faible car la Terre est protégée des rayons cosmiques par son champ magnétique. Néanmoins, une augmentation soudaine de la concentration des 14C provoque un climat plus froid et/ou plus humide.

 

Lorsque se croisent et interfèrent 14C et 10Be (conséquence des réactions nucléaires induites par les rayons cosmiques dans la stratosphère et la troposphère) on observe des corrélations avec les courbes de la paléoclimatologie.

 

Les carottes extraites des glaciers montrent que, dans les phases chaudes, comme celle commençant il y a 11 500 ans, accompagnant le saut néolithique, on trouve de faibles valeurs en 10Be.

 

Alors qu’à l’inverse, il y a 30 000 ans lors de la dernière avancée de la glaciation de Würm IV, quand des glaciers de 2 km d’épaisseur descendaient jusqu’en latitude de Nantes, on avait un pic de concentration en 10Be.

 

Quand le soleil a froid, la terre a chaud. Et inversement.

 

Avant l’ère spatiale, les scientifiques croyaient que l’irradiation solaire totale était constante. À partir de 1978, on a pu la mesurer par les satellites. Leurs données combinées ont prouvé que la TSI (total solar irradiance) varie d’environ 0,1 % du minimum au maximum du cycle solaire. Ça paraît peu. En astronomie c’est énorme.

 

L’intensité de la radiation de notre étoile varie en fonction des taches solaires qui sont plus sombres et plus froides que la surface du Soleil.

 

Mais ces taches s’accompagnent de points lumineux qui augmentent l’intensité des radiations solaires qui régulent nos climats. Dès lors une période avec peu de taches n’annonce pas un réchauffement mais un refroidissement !

 

Ainsi, le petit âge glaciaire entre 1550-1860 a correspondu à un très faible nombre de taches solaires. Et même à une disparition complète de celles-ci entre 1665 et 1700.

 

Aujourd’hui alors que l’Europe subirait une canicule « jamais vue » selon les médias-menteurs, moindre toutefois que celle dévastatrice de 1911, l’Institut météorologique danois affirme que « L’Arctique connaît son été le plus froid depuis 64 ans. »

 

Milankovitch avait vu juste !

 

Sa théorie née dans les années 1930 liait les variations cycliques des climats à l’activité solaire corrélée à l’excentricité de l’ellipse terrestre autour du soleil, l’obliquité de la Terre qui correspond à ses variations d’inclinaison, et la précession des équinoxes due au fait que notre planète tourne comme une toupie sur elle même.

 

Cette approche a été documentée par la science expérimentale dans les années 1970 et maintes fois confirmée depuis grâce à 3 disciplines majeures :

 

L’analyse des isotopes de l’oxygène retenus dans les glaciers, la cyclostratigraphie qui a relevé dans des cycles sédimentaires des dépôts carbonés stratifiés lors des changements climatiques passés, et la dendrochronologie sur des périodes plus courtes de l’ordre de 10 000 ans qui trouve dans les cernes des arbres, y compris fossilisés, des preuves que la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée, liées aux variations astronomiques.

 

Aujourd’hui on fait des mesures pointues grâce à Lucifer

 

Cet acronyme désigne le Large Binocular Telescope Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research. En français : « Grand télescope binoculaire spectroscopique proche de l’infrarouge avec caméra et unité de terrain intégrée pour la recherche extragalactique. »

 

Cet outil d’étude du cosmos fonctionne à l’Observatoire du Mont Graham dans le sud-est de l’Arizona. Il n’a pas encore réussi à trouver des extraterrestres, mais il a permis de démontrer que les ondes électromagnétiques globales des phénomènes d’éruptions solaires et d’éjections de la masse coronale ont un impact déterminant sur les changements climatiques.

 

Au départ une étude circonstanciée sur la période 1860-1990

 

1860 correspond à la fin du petit âge glaciaire. Après ce minimum, la température moyenne de la Terre va terriblement augmenter de 1,2° C en 130 ans.

 

Parce qu’il faut absolument désigner un coupable, et qu’on n’a pas encore inventé le thermostat permettant de réguler le soleil, le CO2 va être accusé. L’époque s’y prête, elle correspond à la deuxième révolution industrielle avec la mécanisation, le développement des sources d’énergie et les progrès technologiques.

 

Or le dioxyde de carbone n’est pas un poison. Il est indispensable à la vie.

 

Il représente 0,04 % de l’air, niveau stable depuis 50 ans. Tandis que sa part d’origine anthropique représente 4 % du total soit 0,0016 % de l’air ! C’est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et les rayonnements solaires. Sans CO2 il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus.

 

Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm conduirait inexorablement à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent. Avec à l’horizon la famine pour la plupart des humains. Les végans ne trouveraient même plus pour la manger l’herbe qu’ils fument.

 

Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau.

 

H2O représente 2 % de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 et possède des bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.

 

C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90 % des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !

 

En outre, les « savants » du GIEC oublient l’effet du gradient thermique vertical : l’air chaud monte et perd 2°C/1000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.

 

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

 

Mais les réchauffards se croient encore au siècle de Dickens et de Zola. Et ils ne voient pas l’incompatibilité entre leurs lubies anticapitalistes de décroissance et leur adhésion au GIEC, officine de l’ultra-capitalisme mondialisé.

 

Quand les piliers institutionnels du NWO, gouvernements et banksters font des milliards de dollars avec « du vent » i.e la vente et l’échange de crédits carbone virtuels, constituant une des escroqueries les plus abouties de notre époque !

 

On peut ajouter à leur panurgisme une pratique du déni qui s’apparente à de la dissonance cognitive. Ainsi, selon l’Institut australien des sciences de la mer, la grande barrière de corail dont la disparition était annoncée à cause du réchauffement a atteint en 2021 des niveaux de couverture inégalés depuis 36 ans. Bonne nouvelle pour les zékolos ? Que nenni ! Entre chantages et copinages, ils ont exigé que les magazines et émissions axées sur l’environnement n’en parlent surtout pas !

 

Les vrais dangers contre lesquels peu de parades sont efficaces

 

Les éruptions solaires à haute énergie perturbent nos réseaux électriques, nos communications, le signal du système de positionnement GPS et couvrent la haute atmosphère de rayonnements dangereux qui endommagent les satellites de télécoms.

 

Les particules énergétiques du Soleil créent aussi des oxydes d’azote qui, émis en masse durant les pics d’activité, réduisent notre taux d’ozone.

 

Mais ce ne sont pas les spray CFC & autres qui creusent les « trous » (qui se rebouchent tout seuls) contrairement aux âneries rabâchées mécaniquement par les perruches lustrées et les perroquets calamistrés des merdias.

 

Christian Navis, France

 

Interdit de séjour sur YouTube, Twitter et Facebook. Les peuples doivent rester dans l’ignorance !

 

Surprise climatique : la calotte du Groenland grossit en 2017

WWW.LEMONDE.FR

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Surprise : pour la première fois depuis le début du siècle, la calotte de glace du Groenland sera plus épaisse que l'année d'avant. Un phénomène moins dû à une fonte estivale...

 

Arctique : début d’été le plus froid en 64 ans

PERMA.CC

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par Sébastien Renault. Nous faisons état, dans cet article très court d’analyse des données factuelles groenlandaises rapportées par l’Institut

 

[Bernard]

Eine Frage an den Papst

21. Dezember 2015

 

Euer Heiligkeit,

Nachdem ich heute viele Kommentare über die Eröffnung des Heiligen Jahres „der Barmherzigkeit“ gehört und gelesen habe, las ich diese Stelle des Johannesevangeliums (Joh 3,14–21):

„Und wie Mose die Schlange in der Wüste erhöht hat, so muss der Menschensohn erhöht werden, damit jeder, der (an ihn) glaubt, in ihm das ewige Leben hat.
Denn Gott hat die Welt so sehr geliebt, dass er seinen einzigen Sohn hingab, damit jeder, der an ihn glaubt, nicht zugrunde geht, sondern das ewige Leben hat.
Denn Gott hat seinen Sohn nicht in die Welt gesandt, damit er die Welt richtet, sondern damit die Welt durch ihn gerettet wird.
Wer an ihn glaubt, wird nicht gerichtet; wer nicht glaubt, ist schon gerichtet, weil er an den Namen des einzigen Sohnes Gottes nicht geglaubt hat.
Denn mit dem Gericht verhält es sich so: Das Licht kam in die Welt, und die Menschen liebten die Finsternis mehr als das Licht; denn ihre Taten waren böse.
Jeder, der Böses tut, hasst das Licht und kommt nicht zum Licht, damit seine Taten nicht aufgedeckt werden.
Wer aber die Wahrheit tut, kommt zum Licht, damit offenbar wird, dass seine Taten in Gott vollbracht sind.“

Und ich habe nachgedacht. Es ist wahr, daß die Barmherzigkeit Gottes in sich unendlich ist. Aber wie sicher sind wir, daß sie es auch in ihren Wirkungen ist? Gott kann immer vergeben, unendlich oft. Aber sind wir sicher, daß Er uns unendlich oft vergibt?

Ich dachte: Gott hat, obwohl Er seit jeher unendlich barmherzig ist, die Verdammnis des gefallenen Engels und seiner Scharen erlaubt und zwar gleich bei der ersten von ihnen begangenen Sünde.

Und ich habe weitergedacht: Es ist wahr, daß Gott barmherzig ist. Ist es aber nicht auch wahr, daß Er gerecht ist? Diente uns die berühmte Gottesfurcht nicht dazu, uns nicht der Illusion hinzugeben, wir könnten Seine Barmherzigkeit mißbrauchen und Ihn weiter beleidigen?

Warum sagt man nicht auch das? Ich habe einige berühmte Sätze im Gedächtnis.

Der heilige Basilius schrieb: sich auf den barmherzigen Gott zu berufen, aber nicht auch auf den gerechten, heißt, Ihn für einen Komplizen unserer Niederträchtigkeit zu halten.

Der heilige Augustinus sagte, daß die bloße Hoffnung auf Barmherzigkeit viele Seelen getäuscht hat und verlorengehen hat lassen.

Der heilige Alfonso Maria von Ligouri sagte, daß die Gewißheit der Barmherzigkeit Gottes mehr Seelen in die Hölle bringt als Seine Gerechtigkeit, weil tollkühnes sich Verlassen auf Seine Barmherzigkeit, ohne sich zu bekehren und gegen die Sünde zu kämpfen, verlorengehen läßt.

Deus non irridetur. Warum wird also nicht gelehrt, daß die Barmherzigkeit Gottes darin besteht, einen reuigen Sünder aufzunehmen? Ist das impliziert, Euer Heiligkeit?

Hochachtungsvoll Ihr
Ettore Gotti Tedeschi

[sanja84]

 

Na**basmo 

[Bernard]

                                          

[Bernard]

                           

 

Pope Francis has declared war on Traditional Catholics, and he has “stacked the deck” for the next papal conclave. It is possible that Francis’s successor will be even worse than he is. Where do we find hope when we have a bad pope? Well, we can get perspective by looking at Church history; especially those times when the Holy Spirit provided for lay rulers to solve the problems that popes could not.

Below are a few examples where uncontrollable crises were only solved through lay intervention in Church affairs. In these cases, kings exerted their secular authority over the Church, and it bore good fruit. This article is not an argument as to whether secular rulers have de jure (legal) authority over the pope, but it does highlight instances when kings have exercised de facto authority over the Church… with positive results.

 Emperor Theodosius: The Edict of Thessalonica (380) and the Council of Constantinople (381)

Most Catholics are familiar with Emperor Constantine. We know that he legalized Christianity in the Roman Empire with the Edict of Milan in 313 A.D. We are also aware that he summoned the first ecumenical council, the Council of Nicaea in 325, to deal with the Arian heresy. What many do not know, however, is that the Arian heresy got worse after Constantine’s death.

When Constantine died in 337, he left the Roman Empire to three of his sons. By 350, one of his sons, Constantius II, consolidated power and was the sole emperor. Constantius II was an Arian sympathizer and persecuted orthodox Catholics. He even imprisoned Pope Liberius for two years. The pope cracked under the pressure. Liberius not only excommunicated St. Athanasius, but he also signed an ambiguously heretical document called the Second Formula of Sirmium. This betrayal was the likely reason that Liberius was the first pope not to be canonized.

Where were the other bishops during the crisis? They were also signing heretical documents at the “council” of Rimini in 359. The institutional Church was in a sorry state. So many bishops had turned heretical that St. Jerome said: “The whole world groaned and marveled to find itself Arian.” Amazingly enough, what turned the tide against the Arians was the ascension of an even worse emperor, Julian the Apostate.

In 361, Julian became emperor after the death of Constantius II. Julian was a proud apostate from the Faith. Ironically though, his interventions meant to destroy the Faith ended up having the opposite effect. His evil intentions helped to turn the tide against the Arians in favor of the orthodox Catholics.

Julian wanted to destroy the Faith and replace it with paganism. By 361, the Arians were so successful that Julian considered them as the institutional Church. To sew division in the Church, Julian restored the exiled Catholic bishops to their sees. Instead of harming the Faith, this move dealt a devastating blow to Arianism. Arianism had always been supported by the Roman army and elites. The common people, however, kept the Faith. Once the good bishops were reunited with their flocks, the Arian bishops lost influence and authority.

The lay intervention that decisively put an end to Arian “Christology” came with the ascension of Theodosius to the throne in 379. St. Augustine said that Theodosius considered it “more important to be a member of the Church than to be lord of the world.” Theodosius was the last man to rule a united Roman empire, and he used his power to great effect.

In 380, Theodosius issued the Edict of Thessalonica and made Catholicism the sole religion of the empire. The next year, he called the Council of Constantinople, which defined the dogma of the Trinity, and took away any remaining arguments that Arians had to legitimacy. This turn of fortune was no doubt a work of the Holy Spirit. It is amazing to think that just a generation before the Council of Constantinople, the pope, and most bishops, had “bent the knee” to heretics.

Henry III: The Synod of Sutri (1046)

Henry III, King of the Germans, was a devout Catholic. During his reign, the papacy was subject to corruption and simony. Rome was in a state of disarray, and several factions vied for the papacy. There were three men claiming the title of “pope” during this period: Benedict IX, Sylvester III, and Gregory VI (the real pope). Gregory VI was a moral man, but he had bought the papal office from Benedict IX. This was an act of simony but done with good intentions. Benedict was so awful that Gregory felt (in this case at least) that simony was acceptable. 

Henry III was due to be crowned as Holy Roman Emperor, and he wanted to ensure that it was done by a legitimate pope. Therefore, he crossed the Alps with his army and called the Synod of Sutri in 1046 to end the papal impasse. Henry III was familiar with canon law. He knew that he could force the pope to attend the synod, but he did not have the authority to sit in judgment of the pope. Pope Gregory VI was allowed to judge himself and abdicate. He was not deposed by the synod or Henry III. Yet, in a de facto way he was. One may judge whether Henry’s strong-arming of the pope was right or wrong, but no one can deny that Henry helped the institutional Church out of an uncontrolled crisis.

King Sigismund: The Council of Constance (1414-1418)

The 14th century was a disaster for the institutional Church, and many faithful lost respect for the papacy. From 1309 to 1376, seven successive popes resided in Avignon… not in Rome. This was a period that came to be known as the “Babylonian captivity of the Papacy.”

 In 1377, Pope Gregory XI finally returned to Rome and ended the nearly 70-year-long exile in Avignon. The good news did not last long though, and Gregory XI died the next year. Urban VI succeeded Gregory as pope, and he immediately started acting like a tyrant.

Urban VI abused and alienated his cardinals so much that they ended up revolting against him. Several of the cardinals who had elected Urban (just months earlier) decided that he had to go. These cardinals "deposed" Urban VI and elected a new pope in his place. This started the Great Western Schism.

By 1414, three men were claiming to be pope, and the Great Western Schism had been dragging on for almost 40 years. Today, we know who the legitimate popes were during the schism, but that is because we have the benefit of 600 years of hindsight.

By 1414, three men were claiming to be pope, and the Great Western Schism had been dragging on for almost 40 years. Today, we know who the legitimate popes were during the schism, but that is because we have the benefit of 600 years of hindsight. To faithful Catholics living at that time, it was not at all clear who the real pope was. Even St. Vincent Ferrer got it wrong and served an antipope.

The only reason that the Great Western Schism finally came to an end was due to the intervention of King Sigismund (and the Holy Spirit of course!). King Sigismund was the King of the Germans and would later become the Holy Roman Emperor. He called the Council of Constance in part for secular reasons. Sigismund wanted a united Christendom that could help him in his fight against the Ottoman Turks. Whether his motivations were temporal or spiritual does not matter. He stepped in and solved a problem that generations of popes were not able to solve themselves.

The Council of Constance deposed antipopes John XXIII and Benedict XIII. The legitimate pope, Gregory XII, sent legates to the council to represent him. His legates carried letters from Gregory XII that formally acknowledged the council and abdicated his papal throne. After Gregory’s abdication the papacy was sede vacante and the council was able to elect a new pope. Thanks to King Sigismund’s intervention, the Great Western Schism was over.

The Great Western Schism made it explicit that cardinals do not have the authority to depose a sitting pope, and chaos ensues when they try. Ironically, what was implicit from the schism is that lay powers have the de facto ability (if not the outright authority) to depose a sitting pope, and in doing so they can potentially benefit the Church.

Conclusion

When faced with a bad pope and cardinalate, the laity should look to the laity, and the intervention of the Holy Spirit. God’s providence is beyond our comprehension, and lay rulers throughout Church history (even when they had bad intentions) have successfully guided the Church through intractable crises. This was done by the brute application of their temporal authority.

This article does not argue for caesaropapism. The goal of this article is to provide some much-needed historical context amid our current crisis. We are all aware that our Lord gave Peter the “keys of the kingdom,” and that the Pope has the authority to “bind upon earth” (Matt 16:19). On the other hand, Christ told Pontius Pilate that the governor had the power to crucify him because it was given “from above” (John 19:11). What does this mean? Who knows? Our prelates cannot even agree on basic principles of the Faith anymore, so good luck asking them. It is time for us laity to start to learn more for ourselves.

Christ said that he would not leave us orphans, and that the gates of hell would not prevail against his Church. With this knowledge, we should not despair when we see Pope Francis participate in pagan ceremonies, or sell-out millions of Chinese Catholics, or even when he promotes heretics to the cardinalate. The Church is not just made up of Francis and his like-minded prelates, it is also made up of the laity. Looking to the past gives us a reasonable hope that the Holy Spirit will raise up a lay son (or daughter) of the Church to fix this wicked problem. So, if Francis thinks that he can change the Faith… well… he's on the wrong side of history.

[sanja84]

Hvala na objašnjenju

[Bernard]

Gospel According to St Matthew, Chapter 11

 

[25] At that time Jesus answered and said: I confess to thee, O Father, Lord of heaven and earth, because thou hast hid these things from the wise and prudent, and hast revealed them to the little ones.
In illo tempore respondens Jesus dixit : Confiteor tibi, Pater, Domine caeli et terrae, quia abscondisti haec a sapientibus, et prudentibus, et revelasti ea parvulis.

[26] Yea, Father; for so hath it seemed good in thy sight.
Ita Pater : quoniam sic fuit placitum ante te.

[27] All things are delivered to me by my Father. And no one knoweth the Son, but the Father: neither doth any one know the Father, but the Son, and he to whom it shall please the Son to reveal him.
Omnia mihi tradita sunt a Patre meo. Et nemo novit Filium, nisi Pater : neque Patrem quis novit, nisi Filius, et cui voluerit Filius revelare.

[28] Come to me, all you that labour, and are burdened, and I will refresh you.
Venite ad me omnes qui laboratis, et onerati estis, et ego reficiam vos.

[29] Take up my yoke upon you, and learn of me, because I am meek, and humble of heart: and you shall find rest to your souls.
Tollite jugum meum super vos, et discite a me, quia mitis sum, et humilis corde : et invenietis requiem animabus vestris.

[30] For my yoke is sweet and my burden light.
Jugum enim meum suave est, et onus meum leve.

Gospel According to St John, Chapter 12

[27] Now is my soul troubled. And what shall I say? Father, save me from this hour. But for this cause I came unto this hour.
Nunc anima mea turbata est. Et quid dicam? Pater, salvifica me ex hac hora. Sed propterea veni in horam hanc :

[28] Father, glorify thy name. A voice therefore came from heaven: I have both glorified it, and will glorify it again.
Pater, clarifica nomen tuum. Venit ergo vox de caelo : Et clarificavi, et iterum clarificabo.

[29] The multitude therefore that stood and heard, said that it thundered. Others said: An angel spoke to him.
Turba ergo, quae stabat, et audierat, dicebat tonitruum esse factum. Alii dicebant : Angelus ei locutus est.

[30] Jesus answered, and said: This voice came not because of me, but for your sakes.
Respondit Jesus, et dixit : Non propter me haec vox venit, sed propter vos.

[31] Now is the judgment of the world: now shall the prince of this world be cast out.
Nunc judicium est mundi : nunc princeps hujus mundi ejicietur foras.

[32] And I, if I be lifted up from the earth, will draw all things to myself.
Et ego, si exaltatus fuero a terra, omnia traham ad meipsum.

[33] (Now this he said, signifying what death he should die.)
( Hoc autem dicebat, significans qua morte esset moriturus.)

[34] The multitude answered him: We have heard out of the law, that Christ abideth for ever; and how sayest thou: The Son of man must be lifted up? Who is this Son of man?
Respondit ei turba : Nos audivimus ex lege, quia Christus manet in aeternum : et quomodo tu dicis : Oportet exaltari Filium hominis? quis est iste Filius hominis?

[35] Jesus therefore said to them: Yet a little while, the light is among you. Walk whilst you have the light, that the darkness overtake you not. And he that walketh in darkness, knoweth not whither he goeth.
Dixit ergo eis Jesus : Adhuc modicum, lumen in vobis est. Ambulate dum lucem habetis, ut non vos tenebrae comprehendant; et qui ambulant in tenebris, nescit quo vadat.

[36] Whilst you have the light, believe in the light, that you may be the children of light. These things Jesus spoke; and he went away, and hid himself from them.
Dum lucem habetis, credite in lucem, ut filii lucis sitis. Haec locutus est Jesus, et abiit et abscondit se ab eis.

[Bernard]

Gospel According to St John, Chapter 16

 

[29] His disciples say to him: Behold, now thou speakest plainly, and speakest no proverb.
Dicunt ei discipuli ejus : Ecce nunc palam loqueris, et proverbium nullum dicis :

[30] Now we know that thou knowest all things, and thou needest not that any man should ask thee. By this we believe that thou camest forth from God.
nunc scimus quia scis omnia, et non opus est tibi ut quis te interroget : in hoc credimus quia a Deo existi.

[31] Jesus answered them: Do you now believe?
Respondit eis Jesus : Modo creditis?

[32] Behold, the hour cometh, and it is now come, that you shall be scattered every man to his own, and shall leave me alone; and yet I am not alone, because the Father is with me.
ecce venit hora, et jam venit, ut dispergamini unusquisque in propria, et me solum relinquatis : et non sum solus, quia Pater mecum est.

[33] These things I have spoken to you, that in me you may have peace. In the world you shall have distress: but have confidence, I have overcome the world.

[Bernard]

Don Nicola Bux: Chissa se crediamo che la fede in Cristo Risorto è la vittoria che vince il mondo

 

https://m.facebook.com/ilpensierocattolico/videos/don-nicola-bux-chissà-se-crediamo-che-la-fede-in-cristo-risorto-è-la-vittoria-ch/1030652791140527/

[Bernard]

Prophecy of Isaias (Isaiah), Chapter 5

 

[20] Woe to you that call evil good, and good evil: that put darkness for light, and light for darkness: that put bitter for sweet, and sweet for bitter.
Vae qui dicitis malum bonum, et bonum malum; ponentes tenebras lucem, et lucem tenebras; ponentes amarum in dulce, et dulce in amarum!

[21] Woe to you that are wise in your own eyes, and prudent in your own conceits.
Vae qui sapientes estis in oculis vestris, et coram vobismetipsis prudentes.

[Bernard]

Bukov Vrh - cerkev Žalostne Matere Božje

[Bernard]

Bachova esenca 21 Gorjušica ali Mustard, kapljice (Sinapis arvensis)

                                       

 

Uporaba:

a) 2 kapljici kanite neposredno na jezik ali raztopite v kozarcu vode in pijte po požirkih.
Ponavljajte po potrebi.

 

b) Pripravite si lahko tudi raztopino v steklenički (uporabno dalj časa) ali jo naročite v naši lekarni ([email protected]):
Izberite največ 7 Bachovih esenc, prilagojenim vašim čustvenim potrebam.
Kanite 2 kapljici vsake esence (oz. 4 kapljice RESCUE^® kapljic) v 30 ml stekleničko. Stekleničko napolnite z negazirano mineralno vodo, ki ji dodate eno čajno žličko sadnega kisa ali alkohola (npr. viljamovke), ki služi kot naravni konzervans. Vzemite 4 kapljice tako pripravljene mešanice najmanj 4 krat na dan. Mešanica je na hladnem uporabna 3 tedne.

Garancija kakovosti:
Družinsko podjetje Nelsons ima najdaljšo tradicijo izdelave homeopatskih zdravil v Evropi vse od leta 1860. Izhaja iz najstarejše homeopatske lekarne v Evropi, ki kot Nelsons Pharmacy še danes deluje na Duke Street v Londonu. Povezava z dr. Bachom sega v leto 1930, ko je dr. Bach podjetju zaupal izdelavo Bachovih cvetnih kapljic in izdelkov Rescue.

Podjetje Nelson zagotavlja najvišjo kakovost:

• Edine originalne Bachove kapljice.
• Proizvodnjo opravljajo v skladu z najstrožjimi farmacevtskim standardi (mednarodni GMP certifikat – Good Manufacturing Practice oz. Dobra proizvodna praksa).
• Rastline za izdelavo Originalnih Bachovih kapljic vzgajajo na rastiščih, ki jih je uporabljal že Dr. Bach.
• Tradicija izdelave Bachovih kapljic in Originalne cvetne mešanice Rescue izhaja direktno iz prakse Dr. Bacha, neprekinjeno že več kot 80 let.

Poreklo: Velika Britanija

Opozorilo: Kapljice vsebujejo alkohol (27 vol % alkohola). Prehransko dopolnilo ni nadomestilo za uravnoteženo in raznovrstno prehrano. Shranjujte v temnem in suhem prostoru, na temperaturi pod +25°C.

https://prva-naravna-lekarna.si/izdelek/bachove-cvetne-esence/cvetne-esence/gorjusica-mustard-kapljice/

 

Primeri situacij, v katerih bi lahko uporabili to cvetno esenco: Depresija brez razloga

Osebe, ki bi to cvetno esenco lahko potrebovale: Ženske s postmenstrualnim sindromom ali v menopavzi, nosečnice in vse tiste osebe, ki doživljajo hitro spreminjanje razpoloženja ali pa se počutijo depresivne brez razloga. 

Pozitivni vpliv uporabe te cvetne esence: Oseba bo znova videla svetlo plat svojega življenja in na situacije, v katerih se je znašla, gledala pozitivno. Začutila bo val pozitivne energije.

Pomnite, cvetna esenca Mustard (gorjušica) pomaga razpršiti temne oblake, ki so prekrili naše življenje, in pomaga, da se zavemo lepote in veselja svojega življenja, brez žalosti, depresije in nihanja razpoloženja.